syndicalisme et socialisme .....

Syndicalisme et socialisme dans la deuxième moitié de XIX siècle :
Le développement de la classe ouvrière.


0) introduction

La condition ouvrière au moment de la naissance du prolétaria (fin 18ème pour l’Angleterre, début 19ème pour la France) s’accompagne d’un processus de déchéance physique et moral pour les ruraux déraciner ce retrouvant dans des usines aussi dure que des bagne et avec un statu de salarier comparable a celui d’un esclave.

Dans la 1er moitié du XIX siècle les ouvrier n’on pas le droit de s’associer n’y de faire grève en France. (C’est la loi Le Chapelier de 1791 qui le leur interdisait). Au Royaume-Uni c’été les loi de 1799 et 1800 qui interdisait la coalisation d’ouvrier. Grève et manifestation ouvrière, émeute mais aussi simple secours mutuel été souvent réprimer dans le sang.

Exemple : en 1819 près de Manchester une manifestation pacifique de 60 000 personnes a été chargée par la cavalerie. Cette manifestation fut nommer par la suite : « le massacre de Petersloo » les manifestant été en parti des chartistes. Le chartisme a été au R.U. et dans le monde le premier mouvement politique a base ouvrière et il réclamer le suffrage universel. Le chartisme espérer que la réforme politique apporterait des progrès sociaux.

Puis survint la vague révolutionnaire de 1848 dans les grandes villes européenne. Mais ces révolution n’arrièrent pas a leur terme et en 1849 sévit une répression généraliser en Europe.

Après 1849 les ouvrier ce sont détourné de chartisme et de la politique pour ce tourner vers les condition de travaille et le syndicalisme.

Dans les années 1830 en France les associations ouvrières sont interdites. Certain ouvrier comme les canut de Lyon qui ont subit des baisse de salaire successives jusqu'à ne plus pouvoir réussir a nourrir leur famille ce sont organiser en société mutuelle et on établi un prix minimum de leur produit. La majorité des grossistes refusèrent et en octobre 1831 sur ordre du gouvernement on envoya la troupe occuper les quartiers de Lyon. Les canuts réussissent à reprendre certain quartier au prix de nombreux mort mais finirent par perdre.

I- avec leurs syndicats les travailleurs agissent pour améliorer et défendre leur condition de travaille et de vie.

A- les trade-unions britanniques.

En 1822 les anglais obtiennent la légalisation de leurs associations. Après l’échec politique de 1848-49 les ouvrier britannique ce recentre sur leurs trade-union (= syndicat).
Celles-ci ont pour fonction de :
- constituer de fond de secours mutuel.
- obtenir l’amélioration de la législation sociale.
- Aider les travailleurs en justice face à l’employeur.

B- naissance du syndicalisme en France.

1864 = reconnaissance du droit de grève
1884 = reconnaissance des syndicats

En France les syndicats d’usine et d’atelier ce regroupe en fédération de même profession. Les fédérations ce groupent aux sein de la CGT (Confédération Général du Travail) le 1895 lors du congrès de Limoge.
Parallèlement c’est développer en France un mouvement des bourse du travaille par département et en 1902 le bourses du travail rejoignent la CGT.


Le résultat direct ou indirect du développement des syndicats français fut :


1841 Loi interdisant le travail des enfants de moins de 8 ans et limitant le travail de 8 a 16 ans.

1864 Loi supprimant le livret ouvrier et le délit de grève.

1874 Loi interdisant le travail des enfants de moins de 13 ans. Loi créant l’Inspection du Travail.

1884 Loi Waldeck-Rousseau accordant la liberté syndicale sauf au fonctionnaire

1892 Le travail de jeunes (13-18 ans) est limité à 10 heures ; celui des femmes limitées à 11 heures et interdites la nuit.

1900 Loi Mitterrand limitant a 10 heure la journée de travaille dans les atelier mixtes

1905 Loi limitant a 8 heure la journée de travaille dans les mines.
1907 Loi imposant le repos hebdomadaire

1910 Loi sur les retraites ouvrières, financer par les cotisations des employeurs et des salariés avec le soutien de l’état.

Il y avait toutefois plusieurs courants dans le mouvement syndical français (y compris au sein de la CGT) certain syndicalistes pensé que le syndicalisme ne pouvait servir qu’à améliorer les condition ouvrière dans le cadre de la société capitaliste et de la démocratie parlementaire. On les a appelé les syndicalistes réformistes car ils voulaient obtenir des réformes.